L’indice CAC 40 a gagné plus de 3 % hier à la bourse de Paris pour gagner 4115 points précisément. Toutes les bourses européennes qui ont terminé en très forte hausse pour cette journée du 15 juillet 2016 et pour la seconde séance d’affilée. Ce n’est ainsi pas que la bourse de Paris qui a affiché des chiffres en hausse mais aussi celle de Milan avec près de 4 % de hausse, le Dax allemand a aussi affiché une hausse de 2,67 % et enfin la de 2,04 %. C’est entre autre grâce au discours du gouverneur de la banque centrale chinoise à propos du yuan et de la dépréciation de la monnaie que les bourses européennes aussi. C’est aussi le discours de Mario Draghi qui est le président de la banque centrale européenne qui a participé à cette incroyable hausse des marchés. Le président a en effet indiqué une nouvelle fois que la banque centrale européenne agirait si nécessaire à l’occasion de la réunion prochaine qui se tiendra au mois de mars.
Numéricable SFR en hausse
c’est surtout l’action de Numéricable SFR qui a connu une incroyable envolée hier qui s’était levée a à peu près 7 % à la bourse de Paris ! Ce sont les négociations entre le géant du secteur des télécommunications ainsi que Bouygues Telecom, qui ont failli mal se terminer mais qui ont finalement repris et qui ont ainsi impulsé une très bonne lancée en bourse. Un accord entre les grands du secteur serait imminent selon les professionnels.
Le cas de la BCE et les créances des banques italiennes
Une rumeur était en train de circuler hier sur les bourses européennes selon laquelle la banque centrale européenne serait en train de négocier avec le Trésor italien dans le but d’acheter des créances douteuses qui sont actuellement à l’origine de la déroute des banques italiennes. Mario Draghi a cependant affirmé que cet fumeur était infondé et fausse. Il a précisé que la BCE ne rachetait absolument pas de créances mais pourrait cependant recevoir les créances transformées en types mais uniquement sous conditions. Les banques du pays pourraient donc être amenées à suivre le modèle des banques grecques qui versent des titres de moins bonne qualité à la BCE afin de pouvoir avoir plus de liquidités.